Mon stage au Cipel -
un espace qui parle de tout et de rien,
d'interculturalité et de particularité
de pensées perso et des préjugés, c'est
un essai dans le monde virtuel de demain...
lundi 17 novembre 2008
Jil Aigrot - Hommage à Edith Piaf
Nice, le 14 novembre 2008. Le Palais de la Méditerrannée bouillonne de gens de tous les âges animés tous du même amour - celui de la chanson française. A 21h moins le quart, l'orchestre entonne des accords qui réveillent des souvenirs. Dans les applaudissements du public, le lourd rideau rouge s'ouvre.
C'est dommage qu'on ne parle davantage d'elle. On a presque tous vu le film "La Môme". On connaît la liste de prix que l'actrice a eu à cette occasion. Mais sait-on qui est la voix et le visage derrière certaines chansons? On l'ignorait. Maintenant on le sait. Elle sillonne la France et le monde entier avec son spectacle en hommage à Piaf. Il s'agit de Jil Aigrot.
Je n'utiliserai pas la même formule de ceux qui écrivent la présentation de ses concerts - "l'illusion parfaite". Jil Aigrot est beaucoup plus que ça. Telle Piaf, elle imprime son empreinte personnelle aux chansons qu'elle chante, en créant ainsi sa propre interprétation qui reflète parfaitement son caractère...
A coté d'elle sur scène on retrouve Guy Colomar au piano, Freddie Garcia à l'accordéon et Cyril au xylophone. La soirée commence par "Comme un moineau", chanson réaliste qui réchauffe l'atmosphère tout en mettant en évidence le véritable talent de la chanteuse.
Dans sa petite robe noire à laquelle les projecteurs empruntent des nuances de rose, de bleu ou de jaune, le regard habité par la passion de chanter, elle nous gâte les oreilles et l'esprit à travers des refrains connus ou moins connus de la môme Piaf. Au programme : les incontournables "La vie en rose", "Non, je ne regrette rien", "Padam padam", "La foule", mais aussi "Y' a pas de printemps", "Mon vieux Lucien", "La goualante du pauvvre Jean", "L'homme à la moto" (qui est si vous ne le saviez pas la première chanson rock'an'roll adaptée en France)...Et chaque chanson est précédée d'un court moment introductif à l'histoire... A la fin, le public est régalé de deux surprises - "Milord" qu'il réclame et une chanson nouvelle dans ce tour de chant - "La quête" de Jacques Brel.
Jil Aigrot. Si vous ne l'avez jamais entendue, achetez son disque. Si vous ne l'avez jamais vue, allez à ses galas. Parce que c'est à découvrir! A l'Olympia, le 18 janvier 2009!
2 commentaires:
Ma petite et grande Ioana,j'avoue que ton côté romantique me plaît,tu vois la vie en rose.......
C'est génial et surtout ne change
pas
Merci beaucoup, Gabriella, pour ton commentaire sincère; j'aimerais pouvoir faire rêver les gens, échanger leur tristesses contre un sourire...
Enregistrer un commentaire